Toutes nos activités passées présentes et à venir sur le site Vtwins Vétérans.

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"Le soleil n’est jamais si beau qu’un jour où l’on se met en route." Jean Giono............. "délaisse les grandes routes, prends les sentiers." pythagore

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jeudi 11 juillet 2013

Le 11 juillet 1869, William Cody participe au Colorado à la bataille de Summit Springs contre les Cheyennes:
          "À White Butte que les Cheyennes appellent Summit Springs (près de Sterling dans le Colorado), Tall Bull fit une halte de repos. Mais le 11 juillet 1869 dans l'après-midi, les éclaireurs Pawnee de Carr trouvèrent le village. Les troupes du 5eme de Cavalerie du Colonel Eugène Carr parvinrent à approcher sans se faire détecter et attaquèrent pendant leur sommeil. N'ayant aucun moyen d'organiser une défense, les Cheyennes courraient, saisissaient leurs chevaux et essayaient de fuir. Tall Bull trouva un poney sur lequel il fit chevaucher sa femme et son fils et les mit en sûreté dans une ravine; en tentant de revenir il fut atteint et tué par un tir (certains disent par Buffalo Bill Cody). Ensuite les Dog Soldiers se séparèrent en deux groupes l'un en direction du nord pour rejoindre les Cheyenne du Nord et l'autre pour rejoindre les Cheyennes du Sud. Carr fit un rapport dans lequel il dit avoir tué 52 Indiens et en avoir capturé 17, femmes et enfants; un soldat fut blessé, différents objets et nourriture confisqués, 84 tipis furent détruits ou brûlés, 400 chevaux furent également capturés.La bataille de Summit Springs interrompit pour toujours le pouvoir des Cheyennes Dog Soldiers dans les Plaines Centrales."



Le capitaine Bourke, qui a assisté à la reddition de Crazy Horse en 1877, le décrit ainsi :
« Je vis devant moi un jeune homme ne dépassant pas 30 ans et d'une taille d'un mètre quatre-vingts, avec une cicatrice en pleine face. Son expression et sa contenance étaient remplies de noblesse, mais aussi de hargne et de tristesse. Il ressemblait à un homme acceptant son destin avec dignité. Pendant qu'il parlait à Frank Gouard (l'interprète) il semblait prendre un certain plaisir mais, en d'autres temps, il demeurait morose et réservé. Tous les Indiens le tenaient en une haute réputation de courage et de générosité. Quand il courait au-devant de l'ennemi, aucun de ses guerriers n'avait le droit de le dépasser. Il s'était fait une centaine d'amis à cause de sa charité envers les pauvres, et il se faisait un point d'honneur à ne rien garder pour lui lors du partage du butin, à part les armes de guerre. Jamais je n'ai entendu un Indien prononcer son nom sans y mettre un accent de profond respect. »

« On ne vend pas la terre sur laquelle on marche ! », Crazy Horse.

« Ne vous méprenez pas sur mon intérêt pour la terre. Je n'ai jamais dit que la terre était à moi pour en faire ce que je veux. Celui qui a le droit d'en disposer est le Créateur. Je réclame le droit de vivre sur ma terre et je vous accorde le privilège de vivre sur la vôtre. La terre est la Mère de tous les peuples. » (Chef Joseph)